Peaky Blinders 6×06 subtitles Free Download

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Ms. Wonder Episode 3 Subtitles – English SRT
June 22, 2022Comments: 0
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Correspondingly as the title of the film portrays, Ms. Wonder Episode 3 caption download 2022 etchings record is on a particularly significant level open in English, We’re at present wanting to add more dialects to our future etchings, Meanwhile, Subscene and Yify etchings give all etchings vernaculars. Ms. Wonder Epi 3 English Subtitles covers the entire level of the Video, No parts or scenes are abandoned.

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File: Peaky Blinders – 6×06 – Lock and Key.WEB.fr

UNE SÉRIE NETFLIX

PRÉCÉDEMMENT

Il va y avoir une guerre,

et l’un de vous mourra.

Soyez bien conscient
que la mort des vôtres

est entièrement votre faute.

Depuis la mort de ma mère,

on ne s’est plus parlé.

Hâte de retravailler avec toi, Michael.

Cet opium est le meilleur du monde.

Pourquoi vendre ?

Les Irlandais sont difficiles,
les Italiens, niet.

Toi, en Amérique ?

Au Canada pour me faire payer.

Elizabeth,
vous avez beaucoup de chance

d’avoir ce que j’ai goûté qu’une fois.

Votre fille souffre de tuberculose.

Morte, Tommy. Elle est morte.

Une fille perdue, un fils retrouvé.

C’est mon fils. On l’appelle Duke.

C’est un tuberculome.
Pas d’opération possible.

– Combien de temps ?
– 18 mois.

Mes associés vont s’occuper
de Thomas Shelby.

Vous allez nous livrer son frère.

Quel est le projet de Michael
à mon égard ?

Et si tu me mens, je le saurai.

J’ai l’intention de tuer Tommy Shelby.

PRISON DE NORFOLK – BOSTON

Tout ça à cause des ambitions
d’un seul homme.

Je me vengerai de Tommy Shelby.

Tu veux boire un coup ?

Ou tirer ton coup ?

Je veux d’abord voir ma femme.

Quand tu l’auras sautée,

t’auras un homme à buter.

La fumée des funérailles de Ruby
imprègne encore tes vêtements,

et tu couches avec une autre.

Et pas n’importe qui.

L’ennemi.

Tous nos ennemis
personnifiés en une femme.

Il y a des choses dont…

Tu ne mens plus aussi bien.

La vérité te trouble le regard.

Je dois me rendre au Canada.

– Tu comptes aller où ?
– Tu vois ?

Tu t’es résigné.

Tu ne te débats plus.

Tu es bel et bien maudit.

Condamné à jamais accepter les limites

que les autres s’imposent.

Condamné
à toujours rester en dehors.

Ta malédiction sera jamais levée.

Je vais m’absenter, Lizzie.

Après mon départ, il y a…

Toujours absent, toujours parti.

Ton alliance aussi est partie.

Elle est ailleurs.

Mes valises sont déjà en bas.

Laisse-moi faire mes adieux à Ruby.

Je dois m’absenter, Charlie.

Regarde-moi.

Regarde-moi.

Maman m’a dit qu’elle partait.

Elle m’a dit pourquoi.

Maman, tu vas aller où ?

À l’hôtel.

Le temps que ton père
me trouve une maison.

Maman.

Je viens avec toi.

Je préfère vivre avec toi.

Où que ce soit.

Tu n’es pas ma mère.

Mais lui, il n’a rien d’un père.

Il n’est jamais là.

Je me retrouverais tout seul.

Charles, trésor…

Ton père ne voudra jamais.

Tu peux partir.

Vas-y, fiston.

Je connais une belle maison, Lizzie.
Je l’aménagerai.

Et lui, emmène-le, Charlie.

Il y a des écuries là-bas.

Il finira par t’obéir.

Il oubliera Ruby.

C’est ainsi, les chevaux.

Tu vas rester ici tout seul ?

J’ai acheté des terres, Lizzie. Plein.

Dont une maison
que je voulais raser,

mais tu peux y vivre.

Papa.

Tu vas aller où ?

L’armurerie des Peaky Blinders.

On a de très bonnes relations
avec l’usine BSA d’Armoury Road.

Une vingtaine de mitrailleuses,

cinq pistolets-mitrailleurs,

des fusils de précision BSA,

trois caisses de grenades.

Pour quoi faire ?

Pour les éventualités
du genre de celle-ci.

Quand on s’en prend à nous,
la famille se serre les coudes.

À toi d’intégrer la famille, a dit Tommy.

Tu seras pas un simple soldat.

Tu seras général.

Un de ces jours.

Alors j’ai des questions à te poser.

Tu as déjà tiré ?

À la carabine.

Au pistolet. Un .22.

Tu as déjà tué ?

Des lapins.

Des faisans, des perdrix. Un chevreuil.

Arthur dit que quand il a réglé
des comptes au bureau de paris,

tu t’es enfui.

C’était pas réglo.

Un soldat n’a pas à en juger.

Il fait ce qu’il faut.

J’ai fait ce qu’il fallait.

À la régulière.

J’ai tué un homme.

Tommy a toujours raison.

On était devant l’hôpital de Bridgnorth.

Ma mère était mourante.

Et l’aide-soignant

a refusé de l’admettre,
car elle était romani

et qu’elle était pas assurée.

Elle a pas passé la nuit.

Lui non plus.

Il y a une dernière chose
qu’on doit savoir.

Tu sais garder un secret ?

Je sais tout, frangin.

Je sais tout.

Tout.

Je t’ai piqué tes clés.

Un tuberculome.

Au cerveau.

Oui. Ça me laisse le temps
de faire ce que j’ai à faire.

Va te faire foutre.

Pas besoin que ça se sache.

Ben voyons !
T’as jamais besoin de rien, hein ?

Non, j’ai besoin de rien. De rien.

Depuis combien de temps
on est morts ? Toi et moi ?

J’aurai enfin le certificat !

Où que j’atterrisse,
je t’y attendrai en buvant un coup.

Putain.

Après avoir échappé à tant de balles…

C’est comique, Arthur.

C’est comique, au fond.

Te mets pas à chialer.

Je chiale pas.

Une fois chacun à l’abri du besoin,
je m’en irai. Seul.

Je refuse que des gens,

qu’ils m’aient ou pas
porté dans leur cœur,

me voient ramper

ou perdre la boule.

Ce serait cruel pour moi
comme pour eux.

Le jour où ils apprendront la vérité,

j’aurai disparu.

Et Lizzie ?

J’ai des papiers à te faire signer
au nom de la société.

Tu l’as dit à Lizzie ?

Je travaille
avec le ministre du Logement.

Je vais attribuer pour dix millions
de contrats de construction.

T’as rien dit à Lizzie.

J’en attribuerai à des entreprises
où on a des parts.

Va te faire foutre avec tes contrats !

La Shelby Company Limited
continuera à gagner de l’argent.

Mais surtout, c’est une bonne œuvre.

La construction de logements…

– Destinés aux travailleurs.
– Content pour toi.

Pour bâtir un avenir plus juste.

Et avant ça,

je me rendrai au Canada.

Me faire payer.
Cinq millions de livres !

Cinq millions, rien que ça ?

Que je distribuerai

à l’ensemble de la famille Shelby.

Ça sera mon legs.

Je serai parti,
mais mon pognon restera.

Pour la plupart de mes proches,
je suis rien d’autre !

Du pognon sur pattes, c’est tout.

C’est ça que tu crois ?

Lève-toi.

Tu m’as entendu.

Lève-toi.

Debout.

Debout, putain !

Debout, soldat !

Lève-toi. Allez, debout, j’ai dit !

Non !

Arrête !

Tu m’entends ? Arrête !

Ça suffit !

Tu es au courant.

Mais tu gardes ça pour toi

jusqu’à mon départ.

Jusqu’à ton départ.

Le moment venu,

je t’appellerai.

Je te dirai où.
Cherche une roulotte.

Je m’en tape de ta roulotte !

Tu allumeras la flamme.

Emmène Charlie et Curly.
Personne d’autre.

Bourrez-vous la gueule.

Récupérez l’or dans les cendres.

Va te faire foutre !

Toi et tes plans à la con !

Je t’avais laissé gagner, ce jour-là.

John.

Tu fais chier, John !

Faites chier, vous deux !

Arthur.

Viens là. Viens là.

– Montre-moi tes yeux.
– Je prends plus rien.

Le dragon s’est envolé.

C’est grâce à toi, putain !

Ça va ?

Allez.

Espèce de…

Je suis pas encore mort.

Reprends-toi, allez !

On a du boulot.

Ramène-toi !

Tu voulais voir Billy aussi ?
J’ai dû fermer la boutique.

Oui, même Billy.

Assieds-toi, Billy.

Merci de m’avoir invité, monsieur Shelby.

Content de te revoir.

Pas pour moi. Mary a dit :

Pas avant 6 h du soir.

Il fait dire à son père
que ça lui va.

Bien.

Ferme la porte, Duke.

Nous voilà tous réunis.

Et ceux

qui connaissent la vérité

useront de discrétion.

Pardon, M. Shelby.
Je parle toujours pas le dialecte.

Finn, lui,

n’a jamais voulu l’apprendre.

J’ai entendu “tachipen”.

“La vérité.”

Tu as parlé de vérité.

La vérité.

La vérité, c’est que j’ai réuni

des hommes de confiance,

parce que je vais m’absenter.

Je vais aller me faire payer
une cargaison

qui a quitté Liverpool il y a dix jours.

Te faire payer par qui ?

Par les Irlandais de South Boston.

Des trafiquants d’alcool.

Tu y vas seul ?

Johnny Dogs a déjà embarqué
pour le Canada.

Michael sera sur place.

Il est de la famille.

Il garantira ma sécurité.

En mon absence,
j’ai un boulot pour vous.

Vous vous rendrez à Arrow House.

Je vais déménager

définitivement.

Pour vider la maison,
il faut des gens de confiance.

Il y a du liquide, des objets de valeur,

des informations sur des gens influents
qui valent plus que de l’or.

Il y a également des corps
qui doivent être déterrés

avant qu’on ne retourne la terre.

Isiah, tu dirigeras l’opération.

À Arrow House,

il y a une cave à vins
qui regorge de bouteilles

plus précieuses
qu’une vie humaine.

N’hésitez pas à vous servir.

Ce sera comme une fête d’adieu.

Prêt pour la fête ?

Je connais la vérité.

“Tachipen.”

Encore cette satanée vérité.

Quelle vérité ?

Prenez des bêches et des caisses.
Apportez les os à M. Patches.

Il les fera brûler dans son fourneau.

Compris ?

Bien. Des questions ?

Si c’est une fête,
on peut amener des filles ?

Non, Billy.

Il y aura tout ce qu’il faut.

La fête est quand, Tom ?

Monsieur Shelby.

Dimanche prochain.

Donc, le dimanche qui vient ?

Oui.

Pendant que vous vous casserez à creuser,

je serai ici à siroter du champagne
avec ma femme.

C’est notre anniversaire de mariage.

Je vois.

Finn,

au fait.

Explique donc à…

– Comment déjà ?
– Mary.

– Mary ?
– Oui.

Vraiment ?

Explique donc à Mary

que tu es un Shelby.

C’est gravé au dos de ta montre.
Regarde.

“Shelby.”

Tu vois ?

Ça veut dire
que c’est toi qui possèdes la montre.

Pas l’inverse.

Il est 6 h quand tu l’as décidé.

Alors bois un whisky.

Bonne fête, les gars !

Un verre, bébé ?

Non.

Tu bois de la flotte comme Tommy ?

J’ai besoin de garder les idées claires.

Laisse sonner.

Bien.

C’est bien.

Je dois y aller.

Bonne nouvelle, Michael.

Écoute.

C’était notre indic

à Birmingham.

Les hommes du clan Shelby
seront tous réunis dimanche.

Sauf Arthur,
qui dînera avec sa femme au Garrison.

La table des Shelby
est près de la fenêtre, c’est ça ?

Elles sont toutes pour les Shelby.

Oui, mais…

Nos hommes peuvent passer
devant en voiture

et mitrailler Arthur à travers la vitre ?

Michael.

On en a déjà discuté.
Il n’y a pas le choix.

Cette affaire est entre Tommy et moi.

Oui.

Et quand tu auras tué Tommy,

Arthur voudra ta peau.

Il doit mourir, lui aussi.

Si Arthur est au pub, il sera torché.

Voire pire.

Au moins, il sentira rien.

Qui va le tuer ?

Tommy travaille
avec une faction de l’IRA.

Connor a des relations.

Ils ont conclu un accord.

Un service rendu
en échange d’armes à feu.

Mais Michael,

tant que les tueurs seront sur place…

Tommy a un fils.

C’est un gosse.

Il grandira.

On tue ni les femmes ni les gosses.

L’indic a parlé d’un nouveau. Duke.

C’est un bain de sang
que tu veux ?

Je suis au courant.

Ce fils illégitime n’est pas une menace.
J’en ai décidé ainsi.

Arthur, c’est tout.

Michael, bébé.

Tout est déjà convenu.

On veut tous la même chose.

Combien d’hommes ont-ils tué
d’un coup de feu ou de lame ?

C’est ainsi que Tommy
est monté sur le trône.

Et dans trois jours,

c’est ainsi que toi,
tu monteras sur le trône.

Au fond d’eux-mêmes,
Tommy et Arthur n’aspirent qu’à mourir.

Dimanche prochain…

on ne fera que réaliser leur souhait.

Oswald a été retenu.
Il m’a priée de le remplacer.

En réalité, c’est faux.

J’ai fait retenir Oswald
et décidé de moi-même de le représenter.

Tu lui voulais quoi ?

Je vais déposer
mon projet de loi sur le logement.

J’ai besoin d’une liste

de tous les propriétaires terriens
ruinés à cause du jeu, de la drogue

ou de tout autre vice.

J’offrirai de leur racheter des terres

en bons du Trésor.

Pourquoi on baiserait pas ici,

sur ces bancs ?

Tout de suite.

On ne serait pas les premiers.

Il paraît que ta femme t’a quitté.

Au cours des derniers mois,
j’ai demandé à des associés

de cambrioler

vos copains
pour leur voler des papiers :

des lettres, factures, relevés de compte.

Ça ne t’affecte pas ?

Voici une liste de tous
les grands propriétaires terriens

menacés de saisies.

Pour répondre à ta question,

non.

Le départ de ma femme ne m’affecte pas.

Et si tu veux baiser, baisons.

Mais tu vas devoir venir ici.

Je baise pas sur un banc conservateur.

Monsieur Shelby.

J’allais vous l’envoyer,
mais j’ai préféré vous la remettre

en main propre.

C’est une invitation à notre mariage.

Il se tiendra à Berlin.

Nous allons nous marier
en présence du Führer en personne.

Vous vous amusiez bien ?

On faisait des avions en papier.

Je regrette.

Je serai au Canada pour affaires.

Quel dommage.

Et…

il y avait une autre raison

à ma venue.

Je tenais à vous signifier que,
lorsque Diana et moi serons mariés,

le moindre regard

en direction de mon épouse

signera votre arrêt de mort.

Viens, Diana.

Réfléchissez donc.

Bientôt, les institutions branlantes
comme celle-ci seront balayées.

Elles ne seront plus
qu’un lointain souvenir.

Bon vol.

SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON

Allez-y mollo avec ce colis.

Si vous voyez un nid de poule,

contournez-le.

M. Shelby m’a avertie de votre venue.

On vient faire un peu de jardinage.

On se demande
ce que va devenir la maison.

D’après Tommy, votre plus grande qualité,
après vos gâteaux,

c’est votre discrétion.

Que tout le monde s’en aille
jusqu’à lundi.

Allons trouver ces bouteilles de vin
plus précieuses qu’une vie !

Une seule chambre est occupée.

Les autres sont libres
si vous voulez attendre là-haut.

Notre ami arrivera avant la nuit.

Il y a eu un orage hier soir.

La queue d’un ouragan.

Les bateaux sortent pas.

Il vient en avion, pas en bateau.

Alors il est mort. Le vent faisait…

Dieu t’a privé de ta mission, Mickey.

Je m’appelle pas Mickey,
ton Dieu à la con existe pas,

et Tommy viendra.

Un autre.

Il va y avoir une guerre,

et l’un d’entre vous mourra.

Mais lequel, je l’ignore.

Vous êtes courageux, M. Shelby.

Qu’est-ce que t’as foutu ?

Morte, Tommy.

Elle est morte.

Ceux qui t’ont fait ça paieront, Ruby.

Un tuberculome.

On ne peut envisager une opération.

– Combien de temps ?
– Peut-être 18 mois.

Je vais changer.
Changer pour de bon.

C’est ça que t’appelles “bon” ?

Tuer, et tuer…

Qu’est-ce qui se passe ?

C’est quoi, ce bordel ?
C’est ça, la fête ?

On vous attendait.

– Et les bouteilles ?
– Dans la cuisine.

Elles sont toutes dans la cuisine.

Bon.

Si Dieu a donné à un homme
des richesses, des biens

et les honneurs,
le voilà qui surgit et dit : “Non !”

Tout est mauvais,
tout est mal et malade !

Il est où, Jeremiah ?

Du haut du ciel, il nous regarde.

DISTILLERIE SHELBY

Dieu nous apprend que le sang
est le don qu’il fait à l’homme…

Pourquoi tu allumes pas ?

Il y a plus de jus chez Tommy Shelby.

Comment ça ? Il s’est passé quoi ?

– Où sont les filles ?
– À quoi bon

dans une baraque maudite ?

De quoi ?

De quoi tu parles ?

Putain !

On peut faire ce qu’on veut ici.
La baraque est condamnée.

J’ai pas soif.

On va déterrer ces corps.

– Billy ?
– Oui.

Il faut attendre
qu’ils soient tous enterrés d’abord.

Qu’est-ce que tu baves ?

Je suis un Shelby, moi !

Moi aussi.

Le voilà.

Reculez, vous me faites de l’ombre.

La bombe explosera dans 30 minutes,
à 16h20 précises.

C’est clair ?

Je m’en occupe.

C’est entre Tommy et moi.

C’est à moi de le faire.

Je viens avec toi.

Faites pas claquer les portières.

Doucement.

Dommage que tu n’aies pas
le cran de l’abattre.

Ma mère était une romani.
Elle lisait l’avenir.

Elle a toujours dit
que Tommy ne mourrait pas d’une balle.

Eh, les petits.

Allez pêcher près du pont.

Y a des gros poissons.

Allez !

Prends le flingue, Finn.

Arthur dit que si tu le fais pas,

tu es viré de la famille.

D’où tu parles de la famille ?
T’es pas de la famille.

T’es le rejeton d’une grosse pute.

Prends ce flingue et bute-le.

Prends-le.

Maintenant que tu as le flingue,
sers-t’en contre ces connards.

Charlie Strong m’avait prévenu :

“Avant de lui tendre le flingue,
vide les deux premières chambres.”

Sacré tonton Charlie.

Tu ne fais plus partie
de la famille Shelby.

Par ordre des putains
de Peaky Blinders.

Je te retrouverai.

Je te jure que je te retrouverai.

LE GARRISON

… ces chiens qui font la loi
dans Garrison Lane.

Quand Jésus sortit,
portant la couronne d’épines

et le manteau de pourpre,
Pilate dit : “Voici l’homme !

“Voici l’homme !”

C’était pas un des Peaky Blinders,

assis dans son automobile,
avec sa catin…

DISTILLERIE SHELBY – LE GARRISON

Qu’il lâche son arme.

Dites-lui !

Qu’il la vide.

Ça va, Charlie ?

Tout va bien.

Allez, on avance.

Dehors. Je veux pas saloper mon pub.

Vous nous abattriez
comme des chiens ?

Je bute pas les clebs.
Que les fascistes.

Avancez.

Merde !

Seigneur !

Dévoile-nous

qui tu as choisi de sauver !

Non, les enfants !

Reviens !

Je t’ai déjà dit
de ne pas t’éloigner la nuit.

Touche pas.

Emily, viens !

Emily, viens ici !

Ou tu auras affaire aux Peaky Blinders.

Jeremiah !

On va faire valser le souvenir
de la bataille de Passchendaele.

Merde !

Respirez.

Respirez.

Elle s’appelait Elizabeth Gray.

C’était ma tante Polly.

Ma tante Polly.

Au Seigneur, la veng…

Non, pas à Small Heath.

Repose en paix, Polly.

Laisse-nous, oncle Charlie.

On est encore en France.

C’est bon.

Je l’ai vu émerger du brouillard.

Alors, ce vol ?

C’est l’avenir, il paraît.
J’ai des doutes.

Un whisky.

Bonjour, Michael.

Un autre.

Montre-nous le stock d’opium.

On vous remettra alors
une traite bancaire sur toute la somme.

Cinq millions.

Cinq millions.

Allons-y.

Je monte avec Tommy.

Suivez-nous.

Et merde !

Mes clopes.

Maman.

C’est fait.

C’est fini.

Pardonne-moi, Seigneur.

Johnny !

Tu es où ?

J’ai déplacé la tocante,
comme t’avais dit.

J’ai bien fait, hein ?

Adieu, Michael.

Au revoir, Johnny.

T’es un chic type.

Je vais aller

observer le brouillard.

Je t’écoute.

Vas-y, parle.

– Tu l’as tuée.
– Polly faisait ses choix.

Non.

Aucun de tes proches

ne décide de rien sans ton aval.

Ni Arthur,

ni moi,

ni Ada.

On n’échappe pas à ton emprise.

Ta main étreint toujours notre épaule.

Polly était la moitié de moi-même.

Elle me rend encore visite en rêve.

Elle viendra plus.

Je n’ai aucune limite.

Je sens une odeur d’Irlandais rôtis.

Ah oui, bonjour.

Je sens une odeur de tabac aussi,

que j’interdis à tous en ma présence
sauf à ma nouvelle femme, Edna.

Les Irlandais ayant été réduits en fumée,

la moitié de Boston m’appartient.

Par respect pour mon autorité retrouvée,

éteins-moi cette clope.

Bonjour, Alfie.

Un joli mariage, il paraît.

Oui, c’est vrai. Merci.

Edna vient du milieu du cirque.

Après la kétouba,
l’échange des alliances, le bris du verre,

on est repartis à dos d’éléphant.

C’était pas rien.

Ils ont fermé Camden High Street.

Même les goyim
qui ne peuvent pas me blairer

ont agité leur mouchoir.

Le glaive de la justice.

Bon débarras !

Depuis le temps…

Regarde-le, ce petit con,

qui monte au ciel, là, devant nous,
sous nos yeux ébahis,

car je vois encore d’un œil.

L’œil du mort à qui la vie apparaît

comme à travers un rideau
frissonnant de vérité.

Et je vois que ton neveu monte au ciel
et qu’il sera pardonné.

Contrairement à toi,

qui, le jour du Jugement,

l’auras probablement dans le baba.

Ça va, sinon ?

Tu sais quoi, Alfie ?

Il y a tant de types,

tant de fois,

qui ont déployé tant d’efforts
pour me tuer,

alors que je vais crever.

– On va tous crever.
– Non.

Ni une balle.

Ni une bombe.
Ni un coup de couteau.

– Quoi ? La chaude-pisse ?
– Non.

C’est même pas si noble.

Attends, je m’apprête à te céder
la moitié de Camden,

et toi, tu me dis

que tu vas clamser dans ton lit ?

Pas dans mon lit. Qui fait ça ?

Des gens bien meurent dans leur lit.

Des gens bien ?

Des gens bien.

Pourtant nous voilà,

après tout ce temps, toi et moi.

J’ai dépassé les bornes.

Michael.

Polly.

Ruby.

Tommy,

si tu t’apprêtes à exprimer
des sentiments profonds,

fais-le devant quelqu’un
qui en a quelque chose à foutre,

ou au moins qui est payé
pour faire comme s’il s’en foutait pas.

Une infirmière

ou un prêtre, par exemple.

Quant à la mort,

du haut de ma longue expérience
en la matière,

je la recommande vivement.

Eh bien, Alfie,

ton opéra est achevé.

Si nous allions assister au dernier acte ?

Quand vous voulez.

C’est bon.

Merci à tous d’être là.

Le moins qu’on puisse dire, c’est que…

je suis un des rares politiciens
à tenir mes promesses.

Un domaine

réquisitionné

pour faire place
à des logements ouvriers.

Transformé avec des intentions louables

et 700 kg de dynamite.

Me revoilà d’où on est partis.

Parmi les chevaux, les roulottes,

les vagabonds et les voleurs.

Asseyez-vous, Frances.

Je voudrais porter un toast,

un simple toast,

à la famille.

À la famille !

Tantôt…

elle nous abrite de la tempête,

tantôt c’est elle, la tempête.

J’ai prévu de m’absenter.

Après mon départ…

Ada,

dans cette famille,

c’est toi, la politicienne née,
pas moi.

Ne l’oublie pas.

Si un siège se libère
dans cette ville sordide,

présente-toi.

– Où est Arthur ?
– Il se promène

à la rivière.

Il n’aime pas les adieux.

Il a préféré aller pêcher.

Il voulait que je te dise :

“Là où tu vas, Tommy,
je te rejoindrai.

“Sous peu.

“Je t’embrasse.”

Comment il sait où tu vas ?

Surveille-le, Linda.

Aime-le.

Charles,

veille sur ta mère.

Dis-lui que je suis désolé.
D’accord ?

Je veux que tu sois le…

Tu pars pour combien de temps ?

Merci, Curly.

Tom, pour la jument…

Tais-toi, Curly.

Elle est attelée ?

Dis-moi où tu vas maintenant.

Tu vas devoir porter le seau toute seule.

Tu m’as toujours consultée…

Pas cette fois, petite sœur.

Comment ça ?

Tu vas où ?

Tommy !

UN MOIS PLUS TARD

Au milieu

du morne hiver…

Polly t’envoie ?

Polly t’envoie ?

Ou je suis déjà mort ?

Non.

Tu n’es pas mort.

Tu n’es même pas malade.

Mais si, ma chérie.

Je suis malade.

Comme toi avant.

Non, même pas vrai.

Je le sais. Tu dois vivre.

Tu as laissé le feu s’éteindre.

Rallume le feu, réchauffe-toi.

Tu verras alors

que tu dois vivre.

OSWALD MOSLEY ET DIANA MITFORD
MARIÉS À BERLIN.

HERR ADOLF HITLER – DR MICHAEL HOLFORD
MME HELEN RUTHERFORD

Tu n’es même pas malade, papa.

Saleté de romanichels.

Vous avez chassé les gitans ?

Je suis allé voir,
mais la roulotte était vide.

Foutez-y le feu.

Bien, monsieur.

Avez-vous fait le plein ?

Avez-vous fait le plein, j’ai dit ?

Alors, ce mariage à Berlin ?

Avec Hitler comme témoin !

Vous êtes mon médecin depuis trois ans,

mais je ne vous savais pas
si bien introduit.

Et votre collègue à Saint-Thomas,

à qui vous m’avez adressé
pour un second avis :

demoiselle d’honneur !

Bien introduite, elle aussi.

À genoux, Holford.

Vous vous êtes tous dit

que la seule personne

capable de tuer Tommy Shelby,

c’était Tommy Shelby.

Vous m’avez dit
que j’étais condamné

et avez laissé faire ma nature.

Vous n’avez peut-être pas un tuberculome,

mais vous êtes malade.

Je vous connais.

Votre maladie,
c’est la culpabilité,

c’est la mort que vous avez semée,

c’est celui que vous avez été.

Vous n’êtes plus homme
à tuer de sang-froid.

Tommy.

Vous vous êtes élevé

des bas-fonds
jusqu’à l’antichambre du pouvoir.

Vous ne reviendrez pas en arrière.

Vous n’êtes plus le même.

Cette arme n’a plus rien à faire là.

Je suis revenu pourtant.

De sous terre.

Fermez les yeux.

Fermez les yeux.

La 11e heure.

L’armistice.

Enfin la paix.

Enfin la paix.

Sous-titres :
Florence Curet et Laurent Modigliani
9999
00:00:0,500 –> 00:00:2,00
www.tvsubtitles.net

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