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File: The Umbrella Academy – 3×10 – Oblivion.WEB.fr
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UNE SÉRIE NETFLIX
On refait jamais ça.
– Échapper de peu à l’apocalypse ?
– C’est notre truc.
Y a un truc vraiment tordu.
– C’est la même suite, à l’envers.
– Exact.
– On dirait Alice au pays des merveilles.
– Et t’as encore rien vu.
Enfin, l’autre côté.
– Où est Klaus ?
– Je suis navré, mais votre frère…
J’ai fait mon possible,
mais il n’est pas passé.
Le Kugelblitz a fait sa dernière victime.
Il était juste derrière moi
quand je suis entré.
On doit y retourner.
Impossible.
Nous aurons le temps de pleurer plus tard.
Continuons à avancer.
Luther et Klaus ?
Quand on parle de réalité,
que veut-on vraiment dire ?
Les grands esprits du 19e siècle
pensaient que nous vivions
dans un cosmos mécanique.
À l’ère quantique,
certains suspectent
que l’espace-temps est un hologramme.
Les anciens croyaient que nous étions
sur le dos de quatre tortues volantes
ou sur les cornes d’un bison blanc.
Ces idées soulèvent une question :
connaîtrons-nous un jour
la vraie forme de la réalité ?
Ou a-t-elle une autre forme
que celle qu’on lui donne ?
– On se sent tout petit.
– Qui met de l’ananas sur une pizza ?
Quand on y pense,
on est juste
de minuscules grains de sable
dans un désert plein de sable…
Ça va dans les cocktails, au mieux.
… à l’intérieur de systèmes solaires
dans des déserts de galaxies !
Pourquoi il y en a sur ma pizza ?
– Klaus, tu m’écoutes ?
– Oui, oui.
On est insignifiants,
bla, bla, bla.
Désolé, je suis pas un étudiant foncedé
en première année de philo.
Attends un peu.
– On est où, là ?
– On est morts.
On est morts.
Bienvenue dans mon quartier.
C’est magnifique.
Vous auriez dû loger ici, c’est mieux.
On a à peine survécu la dernière fois.
Mais je suis là, et on est en surnombre.
Ce truc était fort, rapide et énervé.
Sonnez surtout pas.
Sauf si vous voulez perdre un doigt.
Je tente.
– Non !
– Bouge de là.
Pour le battre,
il faut le bon état d’esprit.
Tu veux dire que je suis en colère ?
Oui, en effet.
Je veux tuer ce qui a tué Luther.
Luther n’est pas le seul à être mort.
On a perdu Klaus aussi.
Je suis en colère aussi.
On l’est tous.
– Mais on doit être malins.
– Le moment venu, on agira.
Les portes sont fermées, Cinq.
On est coincés ici ?
Cet endroit est à la fois
une épreuve, un piège et notre salut.
– Quelqu’un comprend ?
– Ça veut dire : “Ne sonnez pas.”
On a compris.
Ne pas sonner.
On fait quoi ?
Quelqu’un sait ?
Reggie ?
Reggie.
J’ai faim.
Quelqu’un veut des makis à l’anguille ?
Tu manges dans un moment pareil ?
Tu fais ton connard
dans un moment pareil ?
Lâche-la.
– C’est pour…
– Prendre des forces.
Dans ce moment difficile.
Diego, viens une seconde.
Je suis mort ?
Oui, et je suis ravi d’être là
pour ta première fois.
Ça fait bizarre.
C’est comme se réveiller
d’un rêve super lucide.
Mais t’en fais pas,
tout va très vite s’éclaircir.
C’est pas vrai.
Papa m’a tué.
Moi aussi ! Plein de fois.
– Il vient d’ailleurs !
– On évite de dire ces choses-là.
Je vais être politiquement correct
mais tu pourrais te contenter
de dire qu’il est Anglais.
Non, c’est un extraterrestre !
Comme un homme-insecte
d’une autre planète !
Klaus, tu dois y retourner
pour prévenir Sloane et les autres.
Impossible.
Je veux plus y retourner.
– Pardon ?
– Je suis à ma place.
Toute ma vie,
j’ai été un loser, un monstre.
J’ai enchaîné les erreurs,
mais c’était un signe.
Un signe que j’étais ici chez moi.
– Je suis à ma place.
– À cet endroit merdique ?
Mais non, je parle du monde éthéré.
Avec toi et tous nos amis fantômes.
Et je fais quoi ?
Tu manges des pizzas et tu mates
des docus avec moi pour toujours !
– Tu tournes le dos à notre famille ?
– Te fais pas trop de soucis.
Ils finiront par nous rejoindre.
Tout le monde meurt, pas vrai ?
On est morts.
Comme cette danse !
Comme cette danse !
Et si je fais ça ?
Bien essayé, mon grand,
mais il y a pas de douleur dans le Vide.
Vas-y, lâche-toi !
Je relève le défi.
T’allais leur balancer ça !
Désolé,
mais on devrait peut-être leur dire.
Non.
Je veux finir la mission
avant que tu organises une fête.
– Imagine que…
– Tu me passes la sauce soja ?
Je pige pas.
On est avec les gens
qui nous aiment le plus.
Pourquoi pas leur dire ?
Tout est à chier, là.
Ce serait bien de donner à la famille
une raison de se battre.
Chut.
Bouffe ton poisson.
C’est comme le vieux disait.
Une fois, c’est le hasard,
deux fois, c’est une coïncidence,
et ça n’arrivera pas trois fois,
car je suis pas débile.
On est pas sûrs qu’il les a tués.
Tu es sérieux ? C’est son mode opératoire.
On a déjà vu ça.
Tu as oublié comment on s’est retrouvés ?
– À son enterrement.
– Voilà.
Il a déjà fait le coup et il recommence.
Arrête, Cinq.
Il a perdu le vote
pour prendre le tunnel, mais on est là.
Tu l’en penses capable ?
Je le pense capable de tous nous tuer
sans le moindre scrupule.
Pire encore,
je crois qu’Allison est impliquée.
Je déteste dire des banalités.
On s’en fout des clichés, tu es en deuil.
Je sais que c’est la fin,
mais je pensais qu’on serait ensemble
quand elle arriverait.
J’ai pas pu lui dire au revoir.
J’ai pu dire au revoir
à ma fille et à mon mari.
Mais ça n’a pas suffi. Ces sentiments…
sont trop durs à exprimer.
Luther t’aimait…
jusqu’à la lune.
Tu le rendais tellement heureux.
– Elle était avec Sloane dans le tunnel.
– Je parle pas de Klaus.
Luther ?
– Non, elle ferait jamais ça.
– Elle s’est complètement détraquée.
– Elle a perdu sa fille.
– Et elle a tué Harlan.
Même si t’as raison,
ils avoueront rien si on leur demande.
Je suis d’accord.
Arrête. Écoute-moi.
Je refuse d’y retourner
pour me faire malmener.
Tu peux rien y faire !
T’es tellement égoïste !
Tu le sais ?
Relax ! T’inquiète pas.
Tu as tout le temps pour t’en remettre !
Bon, ça suffit.
Merde.
Putain !
J’ai dû mourir un million de fois
avant de comprendre.
Encore ?
Oui, encore.
C’est le paradis de quelqu’un, ça ?
– Qu’est-ce que…
– Coucou, toi.
– Toi !
– Non !
Reviens là !
Ça chatouille !
Lâche-moi !
Toi.
Je peux pas te faire mal,
mais je peux te jeter dans des murs
pour l’éternité.
Tu seras jamais en paix.
J’arrêterai jamais.
Le Vide, c’est chez moi.
C’est peut-être un château gonflable,
mais c’est le mien !
Tu veux pas aider la famille, OK.
Mais l’amour de ma vie traverse l’enfer.
Je sais même pas si je peux.
On ignore où ils sont.
– Klaus, c’est chez toi.
– Oui.
Tu viens de le dire.
– Tu es le roi de la mort.
– Tu en rajoutes un peu.
Je me considère plutôt comme…
le prince des ténèbres.
Si tu veux !
Je crois en toi.
Tu es capable de tout.
Désolé pour l’incruste.
OK, c’est bon.
On va le faire.
On va essayer.
Pour info, niveau motivation,
sur une échelle de un à Braveheart,
c’était un demi Rudy.
– On en reparle.
– Tu peux mieux faire.
Bon sang.
Il faut qu’on parle.
– Je suis occupé. Ça peut attendre ?
– Non.
Tu as tué Luther et Klaus ?
Un gardien rôde dans cet hôtel.
On doit le vaincre pour réussir.
Que gagnerais-je à tuer deux coéquipiers ?
– Réponds.
– Je viens de le faire.
Si tu te fous de moi, y a plus de marché.
Je t’assure
que je respecterai mes engagements.
J’attends la même chose de toi.
– C’était quoi, ça ?
– Ça ne te regarde pas.
Pardon ?
On est à l’hôtel Oblivion,
comme tu le voulais, grâce à moi.
Ne sois pas ridicule.
Allison a tué Harlan
et j’ai réuni les familles.
Qu’as-tu fait ?
Rassemblez-vous.
Maintenant qu’on a repris notre souffle,
le vrai travail peut commencer.
– Le mythe des sept cloches ?
– Il y en a qui suivent.
– On trouve les cloches, puis quoi ?
– Non.
Les cloches ne sont qu’une métaphore.
– Le sceau.
– Exact, Numéro Cinq.
Le sceau est la clé des sept cloches.
Quand on l’aura trouvé,
on pourra rétablir l’univers.
– Qu’est-ce qu’on doit en faire ?
– Je l’ignore.
Pardon ?
On est là parce que tu avais un plan.
Jusqu’à un certain point.
Super. On va rester
dans cet hôtel pour toujours,
à regarder les murs et manger des sushis.
Le sceau est notre seule issue
et notre chance de rétablir l’univers.
Encore une fois, vous êtes raccord.
– On commence par quoi ?
– Séparez-vous en groupes.
J’irai avec Allison et Sloane.
– Ben et Cinq avec Viktor.
– On veut Allison.
Ben contre Allison. On s’est entraînés
ensemble, c’est plus logique.
Non, merci.
Pourquoi pas ?
Excellente idée.
Allison, avec les Umbrella.
Les Sparrow ensemble.
À chaque groupe son étage.
Trouvons ce sceau.
Et nous ?
Vous êtes un duo.
Personne ne veut vous écouter.
Séparez-vous. Ne négligez rien.
On se retrouve ici dans 30 minutes.
C’est une perte de temps.
Tu as entendu ça ? On est un duo.
Je commence à apprécier ton père.
J’ai oublié mon journal.
Je vous retrouve au 5e.
Quelqu’un s’est donné du mal
pour cacher ce truc.
C’est censé être gros ?
Notre cher Reg nous l’a pas dit.
C’est surprenant. Je pensais
que tu en saurais plus sur son plan.
Qu’est-ce que tu sous-entends ?
Je vous ai vus
dans la suite du bison blanc
pendant le mariage.
– Je sais pas si c’est le moment…
– Tu as fait un blackout.
Oui, et j’ai mis du temps
à me souvenir de ce que j’ai vu,
mais je m’en souviens.
Vous avez passé un accord avec papa.
Qu’est-ce que tu as accepté ?
Un accord ? Avec papa ?
– Tu plaisantes.
– Il est sérieux.
Réponds à la question.
Tu as perdu la tête.
Vous passez un marché et Luther est mort.
C’est ce truc qui a tué Luther.
– Et Klaus ?
– Il est pas entré.
Ton accord tue des gens.
Tu crois vraiment
que j’ai passé un accord avec papa
pour tuer Luther et Klaus ?
Je me casse.
– On se retrouve en bas.
– Attends, non.
Attends. Cinq.
Allison.
Écoute-moi.
Viktor ? Allison ?
La fête commence.
– Ras-le-bol de vos théories du complot.
– Écoute-moi…
Pourquoi ? C’est vous qui avez voté
pour attendre la mort.
“Au diable notre famille et l’univers”.
Moi, je me bats pour sauver les deux.
On doit savoir ce que papa prépare
avant que d’autres meurent.
Il est où, Cinq ?
Il était derrière moi.
Cinq ?
On va s’en sortir, d’accord ?
Tous les trois.
Et ensuite ?
On sera une famille heureuse.
Non.
C’est un autre test où je dois prouver
que je suis un bon père ?
– J’en ai marre.
– Tu as réussi.
Attends.
Il s’agit pas de moi.
Tu as peur.
C’était plus facile avec Stan.
T’aurais pu m’envoyer chier
et j’aurais pas eu besoin
de te dire pour le bébé
ou de te demander de rester.
Pourquoi dire la vérité
quand on peut manipuler
sans prendre le risque de souffrir ?
C’est barjo, ce que tu dis.
Et si je déçois notre bébé
comme ma mère m’a déçue ?
Tu le décevras pas.
Parce que derrière toute ta folie,
il y a quelqu’un de bien.
– T’es sûr ?
– Oui.
À 1 000 %.
Viens.
C’est le même ascenseur ?
Regarde bien sous les plantes, surtout.
Bouge-toi le cul et fouille les murs.
Voilà un mur.
Tiens, un autre mur.
T’as un vrai problème.
Des gens meurent
et tu fais l’ado renfrogné.
– On dirait papa.
– Pourquoi tu veux autant qu’il t’aime ?
On a pas besoin de lui.
On a laissé notre marque sans lui.
Avec la Sparrow Academy, mais c’est fini.
C’était pas un Sparrow !
C’était un père de merde.
T’as pas besoin de lui.
Facile à dire
quand on a une nouvelle famille.
Celui que j’aimais vient de mourir.
J’en reviens pas,
je suis content de vous voir.
– Un problème ?
– L’hôtel change.
Je tourne en rond.
On dirait qu’il est vivant.
– Retournons en bas.
– J’ai essayé.
Où que j’aille, je finis au même endroit.
– T’as pas le sens de l’orientation.
– Passe devant, Magellan.
Cinq ?
Cinq ?
– Il est où ?
– Comment tu veux que je sache ?
On peut pas continuer comme ça.
Je veux que ça redevienne comme avant,
avant ces fausses excuses…
Et les mensonges ?
Allison, arrête.
Comment on fait ?
Je sais pas si on peut.
Un problème, papa ?
Toi !
Je t’ai manqué.
Il n’y a qu’un seul accès.
C’est impossible.
Eh bien, je suis là.
Fascinant.
J’aimerais étudier cela,
mais ce n’est pas le moment.
Tu m’as utilisé.
Pour faire venir la famille, je comprends,
mais tu t’es servi de moi.
Et quand je te sers plus,
tu me laisses crever ?
Pardon ?
Je t’ai rendu service.
Je savais que tu retrouverais
ta place dans le Vide.
– C’est vrai.
– Alors que fais-tu ici ?
– Tu as tué Luther.
– C’était nécessaire.
– Et efficace.
– À qui le tour, papa ? Cinq ? Viktor ?
– Toute la famille ?
– Stop !
Ils sont en position.
La bataille va commencer.
Je suis à un coup de cloche de mon prix.
Tu vas tout gâcher !
Si j’avais 5 cents à chaque fois
que j’ai entendu ça, j’aurais un dollar !
C’est pas beaucoup,
mais il y a des magasins
où tout est à un dollar…
Ça, c’est réglé.
– Personne m’écoute, en fait ?
– Non, mon chéri.
Faut redescendre.
Quel idiot de la fratrie
a fait sonner la cloche ?
Allison !
Il faut partir !
Lève-toi ! On se casse !
Qui a fait ça ?
– Faut partir.
– Je te suis.
Allez !
– Attends.
– Et puis merde.
Bien visé, mon cœur.
Oh, putain.
– Vite !
– Appuie sur le bouton !
– Quel étage ?
– On s’en fout !
Sérieux ? Un samouraï ?
La vengeance lui va bien.
Tais-toi et aide-nous à le tuer.
Par là. Vite.
On doit panser cette blessure.
Vous aviez raison.
J’ai passé un accord avec papa.
Luther et Klaus ?
Non, je savais pas pour ça.
Je le jure.
Pourquoi tu me le dis ?
Il faut que tu me croies.
J’ai fait ça pour nous tous.
Pour Luther et Klaus aussi.
Il t’a proposé quoi ?
Fais-moi confiance.
Écoute, si on s’en sort, tout ira bien.
Viktor ?
Allison ?
– Je t’ai dit d’y aller.
– Et te laisser mourir seul ? C’est mort.
Et le bébé ?
– Laisse-moi gérer.
– Je suis son père.
C’est pas toi qui vas le porter
encore six mois.
Je peux pas te convaincre, alors ?
– Tu comprends enfin.
– Oui.
C’est vrai.
– Tu fous quoi ?
– Je protège ma famille.
– Me laisse pas ici.
– Désolé.
– T’as promis qu’on resterait ensemble !
– Je sais.
Diego, non, fais pas ça.
Quand le bébé arrivera,
dis-lui quel genre d’homme j’étais.
Celui que j’ai essayé d’être.
Non, Diego.
Tu l’as touché cinq fois.
– Il devrait être mort.
– C’est son armure.
– Y a un trou entre les plaques.
– Faut passer derrière lui.
– On le bute.
– Sloane.
Hé, connard !
Cinq ?
Allison ?
Enfin un pouvoir digne d’être imité.
Lila. Pourquoi t’étais dans un placard ?
Je t’expliquerai plus tard.
Merde.
– Marre de fuir.
– Moi aussi.
– Ça me rappelle quelque chose.
– Cette fois, on se vise pas.
On se casse.
Klaus ?
– Lila. Comment t’es sortie ?
– Il s’est passé quoi ?
– On te croyait mort !
– Si seulement.
– Ça va ?
– Oui, je crois.
– T’as une sale gueule.
– Essaie de tuer un gardien.
– On vient de le faire.
– Nous aussi.
Je t’ai dit de rester…
Je t’aime trop !
Klaus, je te croyais mort.
Je suis vivant, malgré les tentatives
de papa de m’éclater le crâne.
Mais on pleurera plus tard.
Je dois vous prévenir
que papa a tué Luther.
Il m’a empêché d’entrer dans le tunnel
et il a fait sonner cette foutue cloche !
Quel est ton plan, le vieux ?
– Pas le temps.
– Tu as tué Luther !
Je n’avais pas le choix
devant votre obstination.
Tous tes mythes à la con.
Il y avait ni cloches, ni vikings.
On est là pour mourir !
C’est faux. Dans cet hôtel
se trouve la clé pour rétablir l’univers.
On doit trouver le sceau !
On se fout tous de ton sceau !
Le gardien a failli nous buter
avec son casque et sa faucille !
– Celui qu’on a tué avait une hache.
– Le nôtre avait une épée.
Il en reste un.
– On doit le tuer.
– Ça a tellement bien marché.
Quelqu’un a des antidouleurs ?
Sinon, fermez-la.
On peut baisser le son ?
Merci.
J’ai trouvé le sceau !
Il est par…
Personne touche à ma femme, fils de pute.
Tout ce temps, je te suis resté fidèle.
Tu as gâché ma vie sur la Lune,
et pour quoi ?
Pour cette mission à la con ?
Tu avais un but. Je t’ai laissé protéger
la chose la plus précieuse de l’univers.
Ah oui ? Quoi ?
Tu comprendras bientôt.
Comme vous tous.
Klaus.
Je peux pas tenir.
Je t’aimerai pour toujours.
Le sceau est par terre.
C’est les étoiles !
Trouvez une étoile sur le sceau.
Restez dessus !
Ben, à toi ! Vite !
Sept branches. On est sept.
C’est nous, les cloches.
Pas toi.
C’est le seul moyen de l’arrêter !
Numéro Cinq, vite !
C’était pas notre accord.
Tu leur fais du mal.
C’est trop tard.
– Je ne peux pas éteindre la machine.
– Quoi ?
L’hôtel est une façade. On est dans
une machine dans une autre dimension.
– Le créateur de l’univers l’a construite.
– Quel rapport avec eux ?
Les particules de leur corps
alimentent la machine.
Il a tué Luther.
Il a essayé de tuer Klaus.
Il va tous nous tuer.
Arrête tout de suite !
J’ai presque fini.
– On va obtenir ce qu’on voulait.
– Non, tu les tues !
Tout a un prix dans la vie.
Arrête !
Allison, touche pas ce bouton.
On sait pas ce qu’il fait.
Allison, arrête !
– M’oblige pas à faire ça !
– Tu me fais confiance ?
Viktor, qu’est-ce que tu fais ?
Arrête-la !
– Attends !
– Fais pas ça !
Claire ?
Ça va pas, maman ?
Si, mon bébé.
Je suis trop contente d’être à la maison.
Tu es à ta place.
Bonsoir, chérie.
Cool.
MÉMORIAL D’OBSIDIAN
DON DE SIR REGINALD HARGREEVES
Luther ?
Merde.
Vous me voyez ?
Je suis en vie ?
– Luther est vivant !
– C’est pas vrai !
C’est pas tout, mon grand.
Merde ! Mon corps !
Attends.
– Je suis trop beau.
– Luther est tout svelte.
– Sloane doit voir ça.
– J’ai mon bras.
C’est trop cool.
Où est Sloane ?
Elle était derrière moi…
– Quand Allison a appuyé.
– Elle est pas là.
Je sais pas pour vous, mais je me suis pas
senti aussi bien depuis longtemps.
– Quelqu’un sait où on est ?
– À l’hôtel.
Enfin, là où il était.
Le vieux a réussi.
Il a rétabli l’univers.
Tu as retrouvé tes doigts.
Sloane ?
Je me fous de l’univers.
Je veux ma femme.
Elle est où ?
– Ravi que tu sois en vie, mais lâche-moi.
– Réponds-moi.
OK, je me casse.
Y a un problème.
Oui, je vais te casser la gueule.
– Vas-y.
– Non, abruti.
Mon pouvoir.
J’arrive pas à sauter.
C’est ça.
C’est pas bon, ça.
Abracadabra fantomas.
Je suis redevenu mortel ?
Oh, non !
Attendez, comment on va les récupérer ?
Merde.
Je dois retrouver ma femme.
Luther, pars pas !
T’étais mort il y a cinq minutes.
T’es fragile !
– Je dois le suivre.
– Attends, Klaus !
– Je me casse.
– Faut rester ensemble pour comprendre…
On va faire quoi ?
Vivre nos vies ?
Connard.
Train à destination de Yeouido.
Sous-titres : Alban Beysson
9999
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